Rien ne peut véritablement et durablement changer tant que vous n’êtes pas passé par un chemin de réconciliation avec ce qui est là, en ce moment.
Une des cause de toutes les problématiques provient de la peur de ne pas être aimé ou de l’attente d’une reconnaissance extérieure.
Je ne me suis jamais sentie aussi bien que depuis que j’ai appris à pacifier « ce qui est là ». Rien n’est bon ni mauvais, il n’existe que des opportunités de réajuster sa façon de voir, à chaque instant.
Une pensée ne fait pas de mal lorsqu’elle ne fait que passer. Elle fait mal lorsqu’elle envahit ma conscience et s’enracine en moi.
Bloquer volontairement un jugement à propos de tout ce qu’on vit, pour paraître quelqu’un de bien ou sous prétexte d’éviter la souffrance, c’est se couper de l’accès à son ressenti. Cela nous empêche de recevoir l’information qui parle de nous.
L’intelligence de la vie n’a plus l’occasion de nous guider vers notre plus grande vérité.
Pensez-y : - Chaque fois que je parle de quelqu’un en bien ou en mal, c’est de moi-même dont je parle. - Chaque fois que je malmène quelqu’un, c’est moi-même que je malmène. - Chaque fois que je hais quelqu’un, c’est moi-même que je hais. - Chaque fois que je donne un conseil à quelqu’un, c’est à moi-même que je le donne.
- Chaque fois que je pardonne à quelqu’un, c’est à moi-même que je pardonne.
- Chaque fois que j’aime quelqu’un, c’est de l’amour que je me porte.
L’attitude la plus juste serait de se laisser traverser par ce qui arrive, de l’observer puis de le questionner.
La vie est faite pour être vécue, elle apporte ce dont nous avons besoin au bon moment pour nous.
Les crises, la colère, un incident offrent d’excellentes occasions de grandir.
Nous n’avons rien à craindre puisque tout le pouvoir et les clefs de la transformation se trouvent en nous.
La vie est l’écho de ce que je lui envoie.
Et vous que faites-vous pour retrouver les clefs de la transformation qui opère déjà en vous ?